Iku Kaede [en cours]

Nom d'origine : Inconnu

Prénom d'origine : Inconnu

Nom actuel : Iku

Prénom actuel : Kaede

Âge physique : 24 ans

Âge réel : Inconnu

Sexe : Féminin ?

Orientation sexuelle : Inconnu

Nature/Race/Capacités : Ondine. Sait manipuler l'eau et tout ces dérivés (vapeur, glace). Point faible: doit toujours avoir de l'eau sur elle.

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Physique : Je suis une goutte d'eau, capable de prendre n'importe quelle forme. Glace, vapeur, flocon, ... Mais quand je prend forme humaine, je suis toujours une femme. Une femme de petite taille, moins d'un mètre soixante. Au jour d'aujourd'hui, je porte des cheveux cours et de couleur argenté. Ils semblent dotés de vie et ne reste jamais en place, comme mu par un vent indistinct. Ma peau est pâle, comme si elle n'avait jamais goutée le soleil, et légèrement translucide. Mes lèvres, fines et rosées, rajouté un peu de couleur à ma non vie. Mes yeux sont de couleurs changeante selon mes humeurs, au moment où j'écris cette description ils sont vairons, l'un est d'un vert émeraude tandis que l'autre et d'un violet améthyste. Je porte, en vêtement, ce que mon directeur ma donné. Souvent, ce sont des costumes, tailleurs, bref, plutôt formel. Un quelque chose pourtant dénote mon mystère, autour de la taille je porte une ceinture sur laquelle est attachée une petite gourde transparente, d'un verre plus solide que tout. En réalité, c'est de la glace que je maintiens par besoin vital.
Je porte le signe de ma race dans ma nuque, un dessin que je ne montre à personne, symbole des ondins, d'un bleu mouvant avec le violet. Il est caché par mes cheveux, et parfois, par une simple écharpe d'eau semblable à votre laine.

Caractère : Je suis d'humeur changeante, comme la mer reflue face à la lune. Lunatique. Impossible à cerner. Je peux être douce come l'eau d'une rivière, et l'instant d'après être en crue et dévaster tout sur mon passage. Avec les êtres qui me sont chers, je suis douce et aimante, protectrice et jalouse. Avec les êtres qui m'ont blessé je suis impitoyable, carnassière et vengeresse. Avec les inconnus je suis sûre mes gardes et prompte à fuir au moindre danger ou à tendre la main à la moindre détresse. Je suis ouverte d'esprit, et libre d'esprit. J'ai des certitudes que rien ne peux changer, des rêves que personne ne peut explorer. J'ai un besoin inconditionnel de jouer avec l'eau, voir de passer des heures dans ma piscine, dans un lac, dans la mer, dans la pluie ou dans votre larme. Je suis ordonnée, fine et calculatrice. Je donnerais tout au directeur car il m'a sauvé du goudronnage intensif.
J'aime les gens honnête, et franc, tout comme j'aime les gens timides et qui parle peu, bref, qui ne parle que pour dire quelque chose qui vaut le coup d'être entendu. Je n'aime pas les personnes qui débitent cent mots à la secondes pour ne rien dire. J'aime bien la fine pluie d'automne mais j'aime aussi me faire vapeur au soleil, ou vapeur dans un sauna bien fréquenté.
That's all I think~

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Histoire :
De l'eau.
Partout.
De l'eau.
Une bulle éclate.
Ma bulle.
Je suis l'eau. Elle est moi. L'hiver. Je me glace. Je suis glace. Tour à tour stalactite et flocon. Et parfois, curieuse.. Je suis une ondine. Un sirène avec des jambes. Capable de frôler de sol. Pas de branchie non plus. Une humaine parmi tant d'autre. Dont la naissance remonte à celle de l'eau. Une ondine... Maudite. Incapable de ressentir des sentiments, car seule... Toujours seule... Je n'en puis plus... Je me met au bord de l'eau. Je me mire dans mon lac. Je touche la surface de l'eau, puis relève la main, l'eau me suit.
Divinité d'un lac. D'un lac qu'on va goudronné. On va me goudronné aussi? Devrais-je aussi mourir?
Je ne veux pas mourir, je ne veux pas que tout soit détruit! Il faut que je fasse quelque chose! Je ne pas les laisser faire. Détruire, oui... Tout détruire, les détruire... Mais je laisserais découvrir le secret de mon peuple! Qu'est ce que je dois faire.
J'étais larme quand un être à l'apparence humaine vint me voir. Kazuki Kuroda. Il voulait que je le suive. Il avait ouvert un pensionnat. Car le lac devait disparaitre et rien ni personne ne pourrait aller contre. Alors il m'offrait une seconde vie. Je n'hésitais pas, je ne voulais pas mourir. Et puis, il avait de l'eau là où il vivait. Alors je pourrais vivre. Mais je ne voulais pas ça s'en rien. Alors j'offrais mes services. Secrétaire, entre autre. Je prendrais garde à ce drôle d'établissement, je l'épaulerais s'il le faut.
Tout pour éponger ma dette, et surtout le remercier de ce qu'il a fait pour moi.
Alors je suis là, avec lui, avec ma gourde d'eau quand je suis pas proche d'un nombreux point d'eau qui existe au pensionnat, à me refaire une vie où, comble de l'amusement, on me prenait pour une humaine...
Mais je suis eau.
De l'eau.
Partout.
De l'eau.
Une bulle éclate.
Ma bulle.
Je suis l'eau. Elle est moi. L'hiver. Je me glace. Je suis glace. Tour à tour stalactite et flocon. Et parfois, curieuse.. Je suis une ondine.

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